VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

tout ce qui concerne les projecteurs, plateaux, lanternes, automates etc...
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VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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Bonjour à tous,

Alors, voyons voir un peu de précinéma … voilà, revenons un peu sur la base de l’image à 24 images seconde. À une époque qui rêvais d’un nouveau Prométhée (la vague romantique qui déferla sur notre Europe de 1830), un jeune Professeur d’origine Belge Joseph Plateau, qui un jour de l’été 1829, à Liège, fixa vingt-cinq secondes durant le disque éblouissant du soleil de midi et se retrouva aveugle pour avoir voulu arracher un nouveau secret à la lumière et connaître la résistance limite de la rétine humaine. Alors, pendant les journées qu’il dut passer dans une chambre obscure, Joseph Plateau ne vit longtemps rien d’autre que l’obsédante et déchirante image solaire, gravée à vif sur sa rétine. Parmi vous, certain me dirons que Newton avais déjà tenté une expérience semblable. C’est vrai, aux environs de 1680. Personnellement, je pense que Joseph Plateau avait eu vent de ce phénomène. Revenons justement à l’ami Joseph Plateau, si vous le voulez bien ? Après un long moment dans sa chambre obscure, Joseph Plateau, lentement mais surement, sa vue lui revint. Il reprit aussitôt avec une ardeur imprudente ses travaux sur l’optique, et spécialement sur la persistance des images dans l’œil humain. Il sacrifiera ses yeux à ses recherches.
Et en 1842, il devenait définitivement aveugle. Mais, dix années plus tôt, il avait eu le bonheur de découvrir un secret véritablement prométhéen : la formule qui permettait de recréer l’homme vivant dans la nature multiple. En effet mes chers amis, Joseph Plateau avait construit en 1832 un phénakistiscope. C’est un petit appareil de laboratoire, un simple jouet en fait, mais d’où allait sortir le cinéma moderne dont il posait déjà les premiers principes. Donc, Joseph Plateau réalisa que l’image en mouvement n’était qu’illusion. Pour bien discerner les mécanismes qui rendent possible cette illusion que Joseph Plateau avait découvert, à partir d’un défilement de la pellicule dans un projecteur, il est pratique de savoir que lorsqu'une image se forme sur la rétine, elle ne disparaît pas immédiatement mais reste imprimée quelques secondes avant que les cellules de la rétine redeviennent à nouveau sensibles à la lumière. Cette image est gardée quelque instant en mémoire, environ 1/12ème de seconde, même après sa disparition. Ce phénomène s'appelle donc : la persistance rétinienne. Entre chaque image reçue par la rétine il y a bien entendu un vide que nous ne voyons pas puisque la persistance rétinienne nous permet de remplacer ce vide par l'image gardée en mémoire par la rétine. L'enchaînement des images nous permet de voir des images en continu et non une succession d'images et de vides. La persistance rétinienne est l'un des phénomènes visuels expliquant notre perception de mouvement devant un film au cinéma. Faite donc mes amis cette expérience chez vous après avoir lu mon article : l'expérience d’Ewald Hering consiste à fixer durant un certain temps une image colorée, puis de regarder une surface blanche. On continue alors de voir l'image mais avec des couleurs différentes. Revenons à notre histoire. Aujourd’hui un débat existe quant à savoir si la perception du mouvement au cinéma et à la télévision repose sur le seul phénomène de la persistance rétinienne. Cette explication ne suffirait pas à expliquer l'illusion de continuité. L'absence d'information entre les images serait simplement trop courte pour que le cerveau s’en aperçoive : ce phénomène physique est appelé l'effet phi. Donc, si un film est projeter en 24 images par seconde ou en 25 images, l’œil (et d’ailleurs l’oreille, si le film est démarrer dès le départ à cette cadence) comme le cerveau ne percevras rien d’anormal. Et enfin sachez que sur ce point, la norme CST entre en vigueur. Aujourd’hui, tous les projecteurs modernes ont un variateur de vitesse et peuvent tourner à 25 i/seconde. D'ailleurs beaucoup de complexes projettent comme vous le savez à cette vitesse. Pour ceux qui confondent l’œuvre artistique et technique, il y a en effet un grand fossé. Donc, bien faire attention, à la confusion de genre. Alors rester courtois, et je suis sûr qu’un dialogue peu avoir lieu.

Voilà, j’ai été un peu long avec ce premier article (et quelques fautes d’orthographes), en espèrent que vous aurez tout de même compris, que cela vous a intéressez et vous aideras.

Salut chez vous.

JiCé.
Modifié en dernier par JiCé le dim. 26 juin 2011 - 19:41, modifié 1 fois.
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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C'est drôle on dirait que tu tends le bâton pour te faire battre...

18, 24 ou 60 images seconde, là n'est pas la question. Ni le besoin de cours sur la persistance rétinienne.

Par contre il semble que tu aies besoin d'un rappel sur le respect des supports et du travail des "faiseurs" de film :
- si les films ont été conçus pour être visionnés à une certaine cadence, on les projette à cette cadence. Point barre.

Bref prendre une copie 35mm et la projeter (volontairement) à 25 images seconde c'est du travail de sagouin - sauf s'il est expressément marqué sur cette copie de la projeter à une autre cadence que 24 i/s, ce qui est rare.
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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Coeur Noir a écrit : - si les films ont été conçus pour être visionnés à une certaine cadence, on les projette à cette cadence. Point barre.
J'apporterais un petit bémol, coeur noir, si tu le permets. Deux, même.

1 -> Qu'est ce que la "bonne cadence" de projection ? Pour tous les films postérieurs à 1932, pas de problème ou presque, les films étaient tournés
en prenant en compte une projection à 24 ips, ou 30 ips pour les premiers
films Todd - AO.

2-> Imaginons qu'on ne puisse pas changer la cadence de projection sur le
projecteur. N'oublions pas qu'un film est aussi conçu pour être montré, et
tu seras sûrement d'accord avec moi pour reconnaître qu'une position qui
consisterait à refuser de montrer un film hors de la "bonne cadence" est
une aberration dans certains cas, où on ne peut pas faire autrement. Tout
le problème revient alors à savoir quels compromis ont est prêts à faire pour
que la monstration du film continue, sans avoir à modifier drastiquement
des installations qui, me semble t-il, doivent rester le plus standardisées
possible.

Entièrement d'accord pour le respect de la cadence, mais je nuancerais pour ce qui est du cinéma des premiers temps, où, bien souvent , les opérateurs accéléraient les films, surtout lorsqu'il y avait un défilement manuel, et je ne parle même pas des premiers rhéostats qui étaient tout sauf précis.

Dès lors, mieux vaut, me semble t-il, essayer plutôt de retrouver la cadence à laquelle le film fut projeté, en s'aidant par exemple d'anciens programmes. Reste enfin le cas où la cadence reste sujette à caution, par exemple pour les films muets : qui peut dire quelle est la "bonne" cadence de "Metropolis" ?
(Cf le texte de Kevin Brownlow : Silent films, what what the right speed ?)

Il y a aussi le cas des films Poulsen - Petersen, les inventeurs danois, co - pères de l'Elgéphone avec Gaumont avaient en effet indiqué, comme le démontra notamment Casper Tyjberg, des cadences fausses sur leurs brevets - ce n'était pas leur faute, leur rhéostat était semble t-il faussé ce qui a rendu leurs calculs inexacts.

Enfin, comment projeter sur un projecteur moderne "The Big Trail", par exemple, film pionnier 70mm de 1930 cadencé à 20 images / seconde, sans doute pour optimiser l'exposition ?
Soit on accélère le film, soit on double 1 image sur 6, ce qui provoquera certes un effet bizarre, mais sera au moins parfaitement réversible si d'aventure cette copie venait à être la seule survivante de ce film.
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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Dont acte, Yannick : s'il n'y a pas de meilleure solution, faire en sorte de tendre vers le "moins pire" ou au plus proche de ce qui était prévu.

En théorie "nous" ne somme pas censés "trahir" le travail des opérateurs/cadreurs/photographes/etc... Mais l'histoire (technique) et la fin de certains procédés, formats, supports ne nous laissent pas toujours le choix.

Espérons que la numérisation des films du patrimoine permettra de leur "rendre justice"...
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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C'est aussi cette évolution permanente qui fait que les films sont vivants, et leur permet d'approcher ainsi de nouvelles générations de spectateurs.

Ce qui me fait penser à une autre question : quels compromis sommes nous prêts à faire pour que les oeuvres continuent d'exister, de vivre et d'être montrées ? La restauration de vertigo ou celle de Lola Montès posent peut être des questions éthiques, comme la reprise en 70mm de Gone With the Wind en 1967 ou celle en SuperScope de Fantasia en 1956, mais elles ont au moins l'avantage de permettre aujourd'hui à de nouvelles générations de spectateurs de les découvrir. Sans elles, d'ailleurs, que seraient devenus ces films ?
Modifié en dernier par Yannick le jeu. 30 juin 2011 - 10:06, modifié 1 fois.
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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ça va pas de mettre des post aussi long !!!! Rem limite donc les messages à 50 caractères !!!!
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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Yannick a écrit :C'est aussi cette évolution permanente (...) quels compromis sommes nous prêts à faire pour que les oeuvres continuent d'exister, de vivre et d'être montrées ? (...) elles ont au moins l'avantage de permettre aujourd'hui à de nouvelles générations de spectateurs [de les découvrir ?]
J'adhère, j'adhère et cela nous éloigne heureusement du débat original qui mène à ce long post de JiCé en forme de cours magistral.

Bémol à mon tour sur la notion d'évolution : le principe (la mécanique) du cinématographe n'a quasiment pas bougé durant un siècle alors qu'autour dans tous les domaines il y a eu comparativement davantage de changements :
  • - le besoin de standards pour la pérennité de la diffusion en salles ?
    ou
    - une forme de conservatisme industriel qui a / avait trouvé un schéma économique profitable ?
Quelle est la place de l'oeuvre dans tout cela ? j'veux dire : y'a pas plus ou moins "oeuvre" parce que c'est du super8 ou du 70mm 15 perfos ou du filmé avec une caméra Dalsa 4K ou une RED one... Ce ne sont que des "moyens", des vecteurs - dont je me fiche un peu en tant que spectateur - car ce qui (m')intéresse c'est plutôt la tension, le mouvement qui a lieu entre l'intention des "créateurs" et la perception qu'en aura l'auditoire...

...et comment que je fais pour en revenir au point de départ, hein ? Bah que l'opérateur (et donc avant lui toute la chaîne qui fabrique de la matière palpable ou virtuelle à projeter) doit tout mettre en branle pour être neutre dans la transmission des intentions de départ, avec toutes les techniques dont il(s) dispose(nt) au moment ultime de la projection.

Les bidouillages de cadence, ou les tâches ou les rayures y ont-ils leur place ? Toutes interférences qui éloignent de l'intention première. Par contre ce sont des témoignages historiques, comme les coupes ou les (re)montages qui parlent d'autre chose que du cinéma et ont bien evidemment leur interêt ! Pas question de négliger cet héritage qu'il faut à tout prix conserver pour sa valeur anthropologique.

Mais oui j'ai hâte de voir ce que donnera un film des années 30 patiemment restauré et soigneusement numérisé en 4K - parce que ça pourrait davantage rapprocher du désir fondamental de celui qui voulait montrer quelquechose (et par là aussi plonger d'autant mieux dans sa temporalité).

Et oui j'ai hâte de voir quels films, dans 40 ans toujours "intacts" grâce au numérique, continueront de me transporter, questionner parce qu'à ce moment là nous n'hériterons plus de la même manière les intentions cinématographiques de nos ancêtres...

Donc le cinéma n'est pas mort avec la pellicule, au contraire.


_________


Désolé Pradbitt pour ce post longuet, je crois faut j'arrête la Chimay bleue à 3h du mat' :mrgreen:
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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Coeur Noir a écrit :
Yannick a écrit :C'est aussi cette évolution permanente (...) quels compromis sommes nous prêts à faire pour que les oeuvres continuent d'exister, de vivre et d'être montrées ? (...) elles ont au moins l'avantage de permettre aujourd'hui à de nouvelles générations de spectateurs [de les découvrir ?]
J'adhère, j'adhère et cela nous éloigne heureusement du débat original qui mène à ce long post de JiCé en forme de cours magistral.

Bémol à mon tour sur la notion d'évolution : le principe (la mécanique) du cinématographe n'a quasiment pas bougé durant un siècle alors qu'autour dans tous les domaines il y a eu comparativement davantage de changements :
  • - le besoin de standards pour la pérennité de la diffusion en salles ?
    ou
    - une forme de conservatisme industriel qui a / avait trouvé un schéma économique profitable ?
Quelle est la place de l'oeuvre dans tout cela ? j'veux dire : y'a pas plus ou moins "oeuvre" parce que c'est du super8 ou du 70mm 15 perfos ou du filmé avec une caméra Dalsa 4K ou une RED one... Ce ne sont que des "moyens", des vecteurs - dont je me fiche un peu en tant que spectateur - car ce qui (m')intéresse c'est plutôt la tension, le mouvement qui a lieu entre l'intention des "créateurs" et la perception qu'en aura l'auditoire...

...et comment que je fais pour en revenir au point de départ, hein ? Bah que l'opérateur (et donc avant lui toute la chaîne qui fabrique de la matière palpable ou virtuelle à projeter) doit tout mettre en branle pour être neutre dans la transmission des intentions de départ, avec toutes les techniques dont il(s) dispose(nt) au moment ultime de la projection.

Les bidouillages de cadence, ou les tâches ou les rayures y ont-ils leur place ? Toutes interférences qui éloignent de l'intention première. Par contre ce sont des témoignages historiques, comme les coupes ou les (re)montages qui parlent d'autre chose que du cinéma et ont bien evidemment leur interêt ! Pas question de négliger cet héritage qu'il faut à tout prix conserver pour sa valeur anthropologique.

Mais oui j'ai hâte de voir ce que donnera un film des années 30 patiemment restauré et soigneusement numérisé en 4K - parce que ça pourrait davantage rapprocher du désir fondamental de celui qui voulait montrer quelquechose (et par là aussi plonger d'autant mieux dans sa temporalité).

Et oui j'ai hâte de voir quels films, dans 40 ans toujours "intacts" grâce au numérique, continueront de me transporter, questionner parce qu'à ce moment là nous n'hériterons plus de la même manière les intentions cinématographiques de nos ancêtres...

Donc le cinéma n'est pas mort avec la pellicule, au contraire.


_________


Désolé Pradbitt pour ce post longuet, je crois faut j'arrête la Chimay bleue à 3h du mat' :mrgreen:
C'est tres vrai ce que tu dis coeur noir malheureusement les gens comme ceux qui sont sur ce forum se font rare je pense... (surtout a 4h00 1352 ) non sérieusement je pense que toute la chaine a évolué pour etre plus orienté "fric" et "bénéfice" on doit monter de plus en plus rapident et projeter de plus en plus rapidement... C'est la chute de l'empire romain... :(
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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vous faites exprès ou quoi ???
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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Tu veux que je fasse un petit résumé, rien que pour toi, Prad ? 1352
Coeur Noir a écrit :Donc le cinéma n'est pas mort avec la pellicule, au contraire.
Bah, moi j'aime beaucoup la conclusion de Coeur Noir ( et j'aime beaucoup les posts de Coeur Noir, et d'ailleurs j'aime beaucoup Coeur Noir d'une façon générale :mrgreen: ). Cela me fait du bien de te lire, cher Coeur Noir, car tu es à peu près le seul sur ce fofo qui arrive à voir du positif dans la numérisation de nos cabines, ta présence re-équilibre un peu la balance, quoi...
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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Qu'ils sont meugnons :)
Je voudrais pas vous déprimer, mais je me demande si "The Artist" ne sera pas présenté centré dans un cadre 1,85:1 comme c'est le cas pour la plupart des classiques Disney....
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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pradbitt a écrit :vous faites exprès ou quoi ???
003654 QUI fait expres :) :mrgreen: prad sois pas de mauvaise humeur tu es la pour nous rejouir :) 1353
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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J'espere que j'ai pas vexé prad, on le voit plus
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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faut s'lever tôt pour me vexer, m'énerver se fait bien plus vite !!!!

En tout cas, merci de m''apprécier à ma juste valeur en soulignant que je suis là pour vous réjouir
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Re: VITESSE DE PROJECTION & PERSISTANCE RETINIENNE

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JiCé par contre, on l'aurait bien vexé (à force de lui dire qu'il était vexant...)
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