Bienvenue à Olivia |
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Re: Bienvenue à Olivia
Patate !!! du ventre !!!
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Re: Bienvenue à Olivia
C'est parce que dans le nord, on boit beaucoup de bière! (abdo kro)Patate !!! du ventre !!!
Sinon je ne savais pas qu'une montée de lait faisait gonfler le ventre!
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Re: Bienvenue à Olivia
Et un autre mystère féminin dévoilé... un !GORMZ a écrit :C'est parce que dans le nord, on boit beaucoup de bière! (abdo kro)Patate !!! du ventre !!!
Sinon je ne savais pas qu'une montée de lait faisait gonfler le ventre!
On aurai pu parier sur une belle cambrure aussi....
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Re: Bienvenue à Olivia
Ben on en revient à ce que je disais:GORMZ a écrit :
C'est parce que dans le nord, on boit beaucoup de bière! (abdo kro)
Sinon je ne savais pas qu'une montée de lait faisait gonfler le ventre!
elle adore le lait, elle a eu les yeux plus gros que le ventre, en a trop bu et enfin a des abdo-gros...
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Re: Bienvenue à Olivia
GORMZ a écrit :C'est parce que dans le nord, on boit beaucoup de bière! (abdo kro)Patate !!! du ventre !!!
Sinon je ne savais pas qu'une montée de lait faisait gonfler le ventre!
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Re: Bienvenue à Olivia
j'aime beaucoup ta réponse...canari_noir a écrit :Nan j'essaie mais je vois pas trop..... tes grands yeux verts?phiphine0212 a écrit : bon je suis déjà beaucoup moins dilatée que le dernier jour (sauf à un endroit... je vous laisse imaginer lequel)
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Re: Bienvenue à Olivia
J'aime bien les grands yeux verts ....phiphine0212 a écrit : j'aime beaucoup ta réponse...
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Re: Bienvenue à Olivia
alors je dois t'avouer qu'ils ne sont pas que verts. malheureusement pas possible de mettre 2 couleurs... j'ai les yeux vert et noisette (mais entendons nous bien pas vairon)canari_noir a écrit :J'aime bien les grands yeux verts ....phiphine0212 a écrit : j'aime beaucoup ta réponse...
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Re: Bienvenue à Olivia
Ah les joies de l'informatique.... on fait de la 3D et pas moyen de mettre 2 couleurs sur un profil !phiphine0212 a écrit : alors je dois t'avouer qu'ils ne sont pas que verts. malheureusement pas possible de mettre 2 couleurs... j'ai les yeux vert et noisette (mais entendons nous bien pas vairon)
c'est joli verts et noisette... en fait c'est presque mon cas aussi (pas le vairon!) mais la dominante est noisette et le vert plutôt vert de gris...
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Re: Bienvenue à Olivia
c'est moche ça non? enfin, c'est l'intention qui compte....
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Re: Bienvenue à Olivia
Bah pourquoi tu dis ça, Prad ? Je les trouve très belles, les photos d'Anne Geddes ( j'en ai un gros livre à la maison... ).
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Re: Bienvenue à Olivia
" Dessine-moi un mouton... Le ciel est vide, sans imagination. "
Voilà ma réponse.. les plus belle choses sont les plus simples, puis là on voit rien du bébé, quel interêt de l'enfourner dans cette chose ?????
Voilà ma réponse.. les plus belle choses sont les plus simples, puis là on voit rien du bébé, quel interêt de l'enfourner dans cette chose ?????
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Re: Bienvenue à Olivia
Pour Prad
(…) Qu'est-ce que signifie "apprivoiser"? Demande le petit prince
- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie "créer des liens..."
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
- Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
- Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée…
Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:
- S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.
- Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
- On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
- Que faut-il faire? dit le petit prince.
- Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche: - Ah! dit le renard... Je pleurerai. - C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
- Bien sûr, dit le renard.
- Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.
- Bien sûr, dit le renard.
Puis il ajouta:
- Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses:
- Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. Et les roses étaient bien gênées. - Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose. Et il revint vers le renard: - Adieu, dit-il... - Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. - C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. (...)[/color]
(…) Qu'est-ce que signifie "apprivoiser"? Demande le petit prince
- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie "créer des liens..."
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
- Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
- Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée…
Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:
- S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.
- Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
- On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
- Que faut-il faire? dit le petit prince.
- Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche: - Ah! dit le renard... Je pleurerai. - C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
- Bien sûr, dit le renard.
- Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.
- Bien sûr, dit le renard.
Puis il ajouta:
- Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses:
- Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. Et les roses étaient bien gênées. - Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose. Et il revint vers le renard: - Adieu, dit-il... - Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. - C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. (...)[/color]