C'est vrai, tellement que c'en est drôle des fois...Planète sauvage a écrit :ah au fait c'est pas gai du tout
Critiques de films |
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Re: Critiques
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Re: Critiques
Ca ressemble un peu a la trilogie de Terrence Davies ou pas?
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Re: Critiques
connais pas cette trilogie...
pour avoir jeter un oeil à un extrait à l'instant...ben je ne sais pas quoi dire... (ceci dit il a été dit -et c'est vrai que ça se voit, qu'on était dans la pleine veine du cinéma anglais...donc y'a des passerelles)
la trilogie bill douglas semble plus radicale encore dans la forme... dans le fond faudrait avoir vu cette trilogie là pour faire la comparaison....
pour répondre à Valium, j'imagine que tu as voulu dire par là que c'était vraiment pas gai du tout...et il est vrai qu'en ressortant des 2 premiers volets (moins sur le 3ème quoique que
) tu te poses un peu des questions sur ce que sont des conditions d'existence....
parce que moi sur le moment j'ai pas trouvé ça drôle
au fait pour ceux-ce qui veulent lire de la vrai critique chrétienne de gauche..
http://www.telerama.fr/cinema/bill-doug ... 100685.php
pour avoir jeter un oeil à un extrait à l'instant...ben je ne sais pas quoi dire... (ceci dit il a été dit -et c'est vrai que ça se voit, qu'on était dans la pleine veine du cinéma anglais...donc y'a des passerelles)
la trilogie bill douglas semble plus radicale encore dans la forme... dans le fond faudrait avoir vu cette trilogie là pour faire la comparaison....
pour répondre à Valium, j'imagine que tu as voulu dire par là que c'était vraiment pas gai du tout...et il est vrai qu'en ressortant des 2 premiers volets (moins sur le 3ème quoique que
) tu te poses un peu des questions sur ce que sont des conditions d'existence....parce que moi sur le moment j'ai pas trouvé ça drôle
au fait pour ceux-ce qui veulent lire de la vrai critique chrétienne de gauche..
http://www.telerama.fr/cinema/bill-doug ... 100685.php
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Re: Critiques
Alors là, si tout le monde s'interroge ....Question que tout le forum se pose : quel âge as-tu, Nostromo ?
A un peu moins de 63 ans je dois être le doyen du forum
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Re: Critiques
Loin de là, je crois, la passion n'étant pas quelque chose qui s'éteint facilement, nous avons ici des vétérans tout à fait fringants !NOSTROMO a écrit :A un peu moins de 63 ans je dois être le doyen du forum
On ("on" royal ou "on" collectif) se posait la question car tu partages souvent de superbes documents qui ne datent pas d'hier... Merci, d'ailleurs.
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Re: Critiques
(: C est l effet que cela me fait aussi. (:MOSS a écrit :Merci pour le compte-rendu. Ça donne envie d'avoir 7 ans.
Merci pour le partage, affiche-cine.
D accord avec l hypothese de penny, sur le fait qu au cinéma il est plus facile d obtenir l attention des enfants. Et puis 4 ans et demi! Franchement, c est deja pas mal d avoir réussi a tenir jusqu au bout (je parle pour toi
) d un long métrage. Et le film, je ne le connaissais pas du tout avant que tu nous en parles.
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Re: Critiques
Oui, je suis d'accord avec vous les filles... mais pour le moment, je n'ai pas de salle de cinéma rien qu'à moi (mais il ne faut jamais dire jamais ). Je vais continuer dans cette voie, en travaillant mes séances, la pédagogie et le dispositif (avec des sangles, peut-être ?). Rien n'arrête le cinéma !
). Je vais continuer dans cette voie, en travaillant mes séances, la pédagogie et le dispositif (avec des sangles, peut-être ?). Rien n'arrête le cinéma !- Messages : 990
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Re: Critiques
Chapeau bas en tout cas!
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Re: Critiques
C'est bien vrai. Et on apprend à tout àge.Loin de là, je crois, la passion n'étant pas quelque chose qui s'éteint facilement, nous avons ici des vétérans tout à fait fringants !
Et pour complémenter ton sujet de départ, je viens de faire un peu de
spéléologie au fond des stocks et j'ai remis la main sur "Tobor, the Great"
que tu conseilles. Dans la caisse à coté j'ai trouvé un autre film de fiction
début années 60: "Journey to the seventh planet" (en couleur, celui-là).
En Belgique le titre était "Objectif: septieme planète" (1962).
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Re: Critiques
les rencontres d'après minuits
filmé de façon minimale avec un casting maximal
ça commence par un rêve
c'est poétique les tirades nous portent vers ... où déjà? ... ha oui, c'est un rêve...
et se poursuit sur une déclinaison des "rencontres d'après minuit"
mais la poésie sans l'amour?
"amour, poésie, vigueur"
c'est très bien écrit.
du coup on sent l'ecriture.
mais c'est très bien.
filmé de façon minimale avec un casting maximal
ça commence par un rêve
c'est poétique les tirades nous portent vers ... où déjà? ... ha oui, c'est un rêve...
et se poursuit sur une déclinaison des "rencontres d'après minuit"
mais la poésie sans l'amour?
"amour, poésie, vigueur"
c'est très bien écrit.
du coup on sent l'ecriture.
mais c'est très bien.
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Re: Critiques
touch of sin
4 histoires, en fait quatre personnages pour une même histoire,
pas de parallèles ni de véritable croisement, en ça c'est neuf, subtil ou plutot fin, la finesse de reccurences de themes, de situations, de places et de positions, un regard sur l'ère capitaliste en chine et plus généralement sur le monde.
Révoltes, amours, travail, prostitution, fuite, animaux, chasse, montagne.... et plein d'autres signes et des premiers degrès mais aussi symboles, c'est riche et fin. Deux ou trois moment ça souffre en longueurs mais c'est un bon film.
4 histoires, en fait quatre personnages pour une même histoire,
pas de parallèles ni de véritable croisement, en ça c'est neuf, subtil ou plutot fin, la finesse de reccurences de themes, de situations, de places et de positions, un regard sur l'ère capitaliste en chine et plus généralement sur le monde.
Révoltes, amours, travail, prostitution, fuite, animaux, chasse, montagne.... et plein d'autres signes et des premiers degrès mais aussi symboles, c'est riche et fin. Deux ou trois moment ça souffre en longueurs mais c'est un bon film.
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Re: Critiques
Hop, quelques critiques en vrac :
Les Garçons et Guillaume à table : Mieux vaut tard que jamais, j'ai enfin vu le "succès" surprise du mois de novembre. Globalement j'ai trouvé le film très touchant, parfois plus que drôle, le film vaut principalement pour la prestation de Gallienne, qui livre une oeuvre très personnelle, et il est difficile de ne pas se prendre d'affection pour lui. Après, j'ai trouvé que le film souffrait d'une structure inégale, trop calée sur le déroulement du spectacle, et entre ellipses et longueurs, se présente plus comme une succession de scènettes que comme un "long" métrage. Mais bon, vu le niveau du cinéma français, et particulièrement de la comédie, on ne peut qu'avoir du plaisir de voir un film comme celui-ci.
Casse-tête chinois : J'avais bien aimé L'Auberge espagnole au moment de la sortie, beaucoup moins Les Poupées russes, le troisième (et dernier?) volet se situe un peu entre les deux. Cela commence très, très mal, avec un rythme très mou, une voix off lourdingue, des animations superflues, puis finalement le film trouve son rythme, il y a de très bons moments, Klapisch filme New-York d'une façon très intéressante. Après, j'ai assez peu de sympathie pour le personnage de Xavier, que je trouve être le stéréotype du bobo insupportable, donc je me fous un peu de ce qui lui arrive. Je trouve assez dommage la façon dont plusieurs personnages importants jusqu'ici sont montré(e)s dans cet épisode, mais je n'en dis pas plus pour ne rien révéler. Au final, je n'ai que moyennement aimé, mais c'est déjà plus que ce que je pensais au départ ^^
A Touch of sin : Comme l'a déjà dit Gustavo, le film est une succession de 4 histoires, 4 personnages de "victimes" situées dans la Chine contemporaine. C'est extrêmement intéressant et fascinant la manière dont Jia Zhang Ke mêle le film social réaliste, et le film de genre (action/film d'art-martiaux...)... Je ne connais pas du tout la Chine, et le film dresse un portrait extrêmement intéressant de plusieurs régions, de plusieurs couches sociales, de plusieurs façons de vivre qui ont toutes en commun une violence sous-jacente. Pour critiquer un peu, je dirais que c'est un peu dommage que le film commence trs "fort" avec une histoire pleine de fusillades (les explosions de sang sont fantastiques, on dirait du Johnny To) et que du coup celles qui suivent sont moins marquantes, mais franchement c'est vraiment très bien... Une petite pensée à Mathieu Laclau, le monteur du film qui était venu chercher de l'aide sur le forum il y a tout juste un an http://www.projectionniste.net/forums/v ... lau#p84414
Les Garçons et Guillaume à table : Mieux vaut tard que jamais, j'ai enfin vu le "succès" surprise du mois de novembre. Globalement j'ai trouvé le film très touchant, parfois plus que drôle, le film vaut principalement pour la prestation de Gallienne, qui livre une oeuvre très personnelle, et il est difficile de ne pas se prendre d'affection pour lui. Après, j'ai trouvé que le film souffrait d'une structure inégale, trop calée sur le déroulement du spectacle, et entre ellipses et longueurs, se présente plus comme une succession de scènettes que comme un "long" métrage. Mais bon, vu le niveau du cinéma français, et particulièrement de la comédie, on ne peut qu'avoir du plaisir de voir un film comme celui-ci.
Casse-tête chinois : J'avais bien aimé L'Auberge espagnole au moment de la sortie, beaucoup moins Les Poupées russes, le troisième (et dernier?) volet se situe un peu entre les deux. Cela commence très, très mal, avec un rythme très mou, une voix off lourdingue, des animations superflues, puis finalement le film trouve son rythme, il y a de très bons moments, Klapisch filme New-York d'une façon très intéressante. Après, j'ai assez peu de sympathie pour le personnage de Xavier, que je trouve être le stéréotype du bobo insupportable, donc je me fous un peu de ce qui lui arrive. Je trouve assez dommage la façon dont plusieurs personnages importants jusqu'ici sont montré(e)s dans cet épisode, mais je n'en dis pas plus pour ne rien révéler. Au final, je n'ai que moyennement aimé, mais c'est déjà plus que ce que je pensais au départ ^^
A Touch of sin : Comme l'a déjà dit Gustavo, le film est une succession de 4 histoires, 4 personnages de "victimes" situées dans la Chine contemporaine. C'est extrêmement intéressant et fascinant la manière dont Jia Zhang Ke mêle le film social réaliste, et le film de genre (action/film d'art-martiaux...)... Je ne connais pas du tout la Chine, et le film dresse un portrait extrêmement intéressant de plusieurs régions, de plusieurs couches sociales, de plusieurs façons de vivre qui ont toutes en commun une violence sous-jacente. Pour critiquer un peu, je dirais que c'est un peu dommage que le film commence trs "fort" avec une histoire pleine de fusillades (les explosions de sang sont fantastiques, on dirait du Johnny To) et que du coup celles qui suivent sont moins marquantes, mais franchement c'est vraiment très bien... Une petite pensée à Mathieu Laclau, le monteur du film qui était venu chercher de l'aide sur le forum il y a tout juste un an http://www.projectionniste.net/forums/v ... lau#p84414
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Re: Critiques
Albator, Corsaire de l'Espace :
Terminée l'année ciné 2013, ce film me ferait presque oublier tous les autres... Non je me reprends... Aaargh une tuerie ! Go les titres français des films étrangers, là aussi la traduction est monstrueuse, mais ça date du manga je crois.
Terminée l'année ciné 2013, ce film me ferait presque oublier tous les autres... Non je me reprends... Aaargh une tuerie ! Go les titres français des films étrangers, là aussi la traduction est monstrueuse, mais ça date du manga je crois.
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Re: Critiques
Le loup de wall street
Le début du film lance le ton : hélico+cocaïne= miroir avec la fin des Affranchis. En effet: on a là un portrait d'un "gangster" de ses débuts à son apogée puis qui dit apogée dit déchéance. Dans la veine, le schéma, des Affranchis. Mais du coup à connaitre Scorcese j'ai été moyennement surpris par le film. Pas ennuyé mais une petite longueur au milieu, légère, mais bon, c'est le tableau du film: grandes quantités de sexe de drogue et... d'argent biensûr.
J'ai lu quelque part que Scorcese voulait en faire un film obscène : comme dit une réplique de Di Caprio : "c'est obscène pour les gens normaux." Et c'est réussi.
Franchement, c'est un des meilleurs Scorcese que j'ai vu depuis longtemps. Non pas que Hugo Cabret ou autres m'aient déplu, mais une pièce maitresse de son oeuvre sans doute.
Attention cependant, ne pas s'attendre à une critique frontale du système financier. C'est un tableau, mais ce n'en est pas moins efficace. Les financiers qui se veulent les nouveaux indiens. Les abrutis de pauvres qui n'ont qu'à continuer à suer leur MacDo. Bon film!
Le début du film lance le ton : hélico+cocaïne= miroir avec la fin des Affranchis. En effet: on a là un portrait d'un "gangster" de ses débuts à son apogée puis qui dit apogée dit déchéance. Dans la veine, le schéma, des Affranchis. Mais du coup à connaitre Scorcese j'ai été moyennement surpris par le film. Pas ennuyé mais une petite longueur au milieu, légère, mais bon, c'est le tableau du film: grandes quantités de sexe de drogue et... d'argent biensûr.
J'ai lu quelque part que Scorcese voulait en faire un film obscène : comme dit une réplique de Di Caprio : "c'est obscène pour les gens normaux." Et c'est réussi.
Franchement, c'est un des meilleurs Scorcese que j'ai vu depuis longtemps. Non pas que Hugo Cabret ou autres m'aient déplu, mais une pièce maitresse de son oeuvre sans doute.
Attention cependant, ne pas s'attendre à une critique frontale du système financier. C'est un tableau, mais ce n'en est pas moins efficace. Les financiers qui se veulent les nouveaux indiens. Les abrutis de pauvres qui n'ont qu'à continuer à suer leur MacDo. Bon film!
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- Enregistré le : sam. 9 mai 2009 - 23:12
Re: Critiques
J'ai fini par voir la désolation de Smaug.
Je ne me suis vraiment pas ennuyé, surtout comparé à l'épisode précédent. C'est vraiment très dense en événements. Mais difficile de se sentir impliqué par contre. Pas d'émotion. Pas plus qu'en regardant ses potes jouer à Donjons Et Dragons.
On retrouve notre galerie de personnages, le Hobbit, toujours So british, assez attachant, nos Pochards de nains, insupportables et les Elfes maniérés et hautains (même leur cavsite qui s'ennivre à l'air d'avoir un balai dans le fût...) Et j'oubliais les méchants de toutes sortes. Entre le hooligan de base et/ou le joueur de foot, qu'importe, ça crie et ça cogne sans trop se demander pourquoi
L'ajout d'un personnage féminin sensé compenser la prétendue mysoginie du roman me plaît bien. Mais que c'est drôle qu'un autre personnage vienne lui dire "vous deviez nous débarrasser de ces araignées. Tel est votre rôle." Humour de P.J?? Bon, il faut dire qu'elle sait bastonner les araignées mieux que tous les gaillards que je connais. Et puis faut voir de quelles araignées on parle!
Par contre, the bémol: Evangeline Lily, dans le film, elle me semble au mieux porter un déguisement d'halloween hyper chiadé. Rien de plus. Elle qui me semble toute charmante en interview, enfin merde, au naturel, c'est une vraie fée, quoi! Pourquoi est-elle moins magique à l'écran qu'en vrai?
Oh et puis le coup dur: Le dragon!
Putain, il parle! Il le font parler les mecs! Non mais WTF il parle vraiment, il articule des mots avec sa bouche et tout! Misère! Pourquoi?
Je savais bien que Smaug avait des tartines de dialogues, et je pense beaucoup de bien du casting vocal... Mais j'avoue que j'imaginais un genre d'échange télépathique (on n'est plus à ça près dans cette Terre Du Milieu...) Là, ça me fait direct penser à du Disney. J'attends presque qu'il sorte de son tas d'or un banjo géant pour nous chanter une chanson... Ou alors je me replonge dans le charmant "La Sorcière Dans les Airs" où un arrière petit-cousin de Smaug s'avère être sorcièrophage.
Un dialogue avec un dragon pouvait faire métaphore, mais là, ça fait premier degré tout moisi.
Je ne me suis vraiment pas ennuyé, surtout comparé à l'épisode précédent. C'est vraiment très dense en événements. Mais difficile de se sentir impliqué par contre. Pas d'émotion. Pas plus qu'en regardant ses potes jouer à Donjons Et Dragons.
On retrouve notre galerie de personnages, le Hobbit, toujours So british, assez attachant, nos Pochards de nains, insupportables et les Elfes maniérés et hautains (même leur cavsite qui s'ennivre à l'air d'avoir un balai dans le fût...) Et j'oubliais les méchants de toutes sortes. Entre le hooligan de base et/ou le joueur de foot, qu'importe, ça crie et ça cogne sans trop se demander pourquoi
L'ajout d'un personnage féminin sensé compenser la prétendue mysoginie du roman me plaît bien. Mais que c'est drôle qu'un autre personnage vienne lui dire "vous deviez nous débarrasser de ces araignées. Tel est votre rôle." Humour de P.J?? Bon, il faut dire qu'elle sait bastonner les araignées mieux que tous les gaillards que je connais. Et puis faut voir de quelles araignées on parle!
Par contre, the bémol: Evangeline Lily, dans le film, elle me semble au mieux porter un déguisement d'halloween hyper chiadé. Rien de plus. Elle qui me semble toute charmante en interview, enfin merde, au naturel, c'est une vraie fée, quoi! Pourquoi est-elle moins magique à l'écran qu'en vrai?
Oh et puis le coup dur: Le dragon!
Putain, il parle! Il le font parler les mecs! Non mais WTF il parle vraiment, il articule des mots avec sa bouche et tout! Misère! Pourquoi?
Je savais bien que Smaug avait des tartines de dialogues, et je pense beaucoup de bien du casting vocal... Mais j'avoue que j'imaginais un genre d'échange télépathique (on n'est plus à ça près dans cette Terre Du Milieu...) Là, ça me fait direct penser à du Disney. J'attends presque qu'il sorte de son tas d'or un banjo géant pour nous chanter une chanson... Ou alors je me replonge dans le charmant "La Sorcière Dans les Airs" où un arrière petit-cousin de Smaug s'avère être sorcièrophage.
Un dialogue avec un dragon pouvait faire métaphore, mais là, ça fait premier degré tout moisi.