Pourtant, moi, je me suis bien spoilé devant Zoolander...gustavo a écrit :faites chier avec vos englichismes de shit fucking spoiler à la mode depuis deux semaines ya un mot françois pour ça c'est "gacher" ou "gaspiller". ouaip, fin de morale.amen.
Critiques de films |
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Re: Critiques
Y a des cas intéressants comme le film d'Anne Fontaine, on change les titres suivants les humeurs des gens, aux states.MOSS a écrit :Il y a souvent un titre anglais pour le marché international, pas forcément choisi par le distributeur français mais bien par le pays d'origine...
Sortie festival USA : Two Mothers (titre réalisatrice)
Sortie France : Perfect Mothers (titre distributeur)
Sortie USA : Adore (titre distributeur après scandale)
Les américains sont choqués par ces films, Adore, ou ma vie avec Liberace, alors qu'ils portent tous des armes près à dégainer pour 2 centimes...
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Re: Critiques
Tu veux dire pour deux *cents*.
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oui c'est ce que je voulais dire
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Re: Critiques
Les anglicismes, c'est has-been !
My two cents…
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MACHETE KILLS
Pas mal le retour de Machete qui est embauché comme un mexicain par le president américain pour sauver washington, dans une course contre la montre mais pas trop stressante, bloqué par le mur frontière entre usa et mexique, Machete contre les illuminatis, Lady Gaga apparait en caméléon chasseur de primes qui en veut après la tête de Machete, Mel Gibson qui pour le nouveau monde veut l'exploser, partir dans l'espace et revenir, Machete ne twitte pas, machete baise mais ne se fait pas baiser. Machete ça marche. Que viva Machete!
LA DANZA DE LA REALIDAD
ça ressemble à une inspiration autobiographique, une sorte de retour en arrière sur son enfance, et qui suit l'initiation d'un enfant et en face le parcours d'un père dur jusque la redemption de celui ci. Du Jodorowski. Un bon film.
Pas mal le retour de Machete qui est embauché comme un mexicain par le president américain pour sauver washington, dans une course contre la montre mais pas trop stressante, bloqué par le mur frontière entre usa et mexique, Machete contre les illuminatis, Lady Gaga apparait en caméléon chasseur de primes qui en veut après la tête de Machete, Mel Gibson qui pour le nouveau monde veut l'exploser, partir dans l'espace et revenir, Machete ne twitte pas, machete baise mais ne se fait pas baiser. Machete ça marche. Que viva Machete!
LA DANZA DE LA REALIDAD
ça ressemble à une inspiration autobiographique, une sorte de retour en arrière sur son enfance, et qui suit l'initiation d'un enfant et en face le parcours d'un père dur jusque la redemption de celui ci. Du Jodorowski. Un bon film.
Modifié en dernier par gustavo le dim. 6 oct. 2013 - 11:45, modifié 1 fois.
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Re: Critiques
Ah non, y en a marre de cette pseudo lange franglaise, on dit gazouiller !gustavo a écrit :Machete ne twitte pas
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Re: Critiques
il est question de tweet de twetter... you twit !
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Vu hier soir Monsters University.
Même si j'ai passé un super moment à revoir tous ces personnages savoureux - avec le plaisir très postmoderne qu'implique la connaissance du futur de tous ces personnages, et à en découvrir de nouveaux, je suis un peu perplexe quant au message véhiculé par ce film, et à l'idéologie sous-jacente qui se devine. Of course, la fin sauve le traditionnel happy end et le rêve américain (sinon il n'y a diégétiquement pas de "Monsters, Inc").
Visuellement, Pixar est toujours autant au top, notamment dans l'éclairage des scènes du tournoi universitaire. Cinématographiquement, la parodie finale des films d'horreur est juste poilante, même pour ceux qui ne sont pas amateurs du genre (il m'a semblé voir un clin d'oeil, entre autres, aux films de Stanley Kubrick, et, indirectement, à La Féline, de Tourneur.) Scénaristiquement, j'ai pourtant davantage eu l'impression d'être devant un Disney qu'un Pixar, je ne saurais pas trop dire pourquoi.
Seul bémol, forcément, se faire les deux films en back-to-back est tout sauf avantageux pour le film de 2001, qui commence à accuser un peu le poids des ans, notamment en matière de photoréalisme...
Même si j'ai passé un super moment à revoir tous ces personnages savoureux - avec le plaisir très postmoderne qu'implique la connaissance du futur de tous ces personnages, et à en découvrir de nouveaux, je suis un peu perplexe quant au message véhiculé par ce film, et à l'idéologie sous-jacente qui se devine. Of course, la fin sauve le traditionnel happy end et le rêve américain (sinon il n'y a diégétiquement pas de "Monsters, Inc").
Visuellement, Pixar est toujours autant au top, notamment dans l'éclairage des scènes du tournoi universitaire. Cinématographiquement, la parodie finale des films d'horreur est juste poilante, même pour ceux qui ne sont pas amateurs du genre (il m'a semblé voir un clin d'oeil, entre autres, aux films de Stanley Kubrick, et, indirectement, à La Féline, de Tourneur.) Scénaristiquement, j'ai pourtant davantage eu l'impression d'être devant un Disney qu'un Pixar, je ne saurais pas trop dire pourquoi.
Seul bémol, forcément, se faire les deux films en back-to-back est tout sauf avantageux pour le film de 2001, qui commence à accuser un peu le poids des ans, notamment en matière de photoréalisme...
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Re: Critiques
METALLICA Through the Never
Je prends toujours sur moi des bouchons d'oreilles, au cas où. Jusqu'à aujourd'hui je ne les avais jamais mis pour un film en salle de ciné. Il a fallut ce film-concert d'1h25, du metal non-stop, pour qu'au bout de 3 minutes ça y est je les inaugure. Ce ciné Dijonnais a joué le jeu, niveau concert type, comme en vrai ( ils ne sont pas équipés electro-voice pour rien) dans une petite salle de 150 places, les basses à fond, quelques gros claquages de hauts parleurs, et acouphènes en sortie oblige.
Sinon la 3D (parce que c'était en 3D), heu... le son a fait oublier l'image...
Bref, 18 000 entrées, allez on va dire que ce n'est pas un film...
Je prends toujours sur moi des bouchons d'oreilles, au cas où. Jusqu'à aujourd'hui je ne les avais jamais mis pour un film en salle de ciné. Il a fallut ce film-concert d'1h25, du metal non-stop, pour qu'au bout de 3 minutes ça y est je les inaugure. Ce ciné Dijonnais a joué le jeu, niveau concert type, comme en vrai ( ils ne sont pas équipés electro-voice pour rien) dans une petite salle de 150 places, les basses à fond, quelques gros claquages de hauts parleurs, et acouphènes en sortie oblige.
Sinon la 3D (parce que c'était en 3D), heu... le son a fait oublier l'image...
Bref, 18 000 entrées, allez on va dire que ce n'est pas un film...
Modifié en dernier par vekoma le lun. 14 oct. 2013 - 23:15, modifié 2 fois.
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Re: Critiques
Vu "Prisoners". Terrifiant, traumatisant, extrêmement bien écrit, interprété et filmé. C'est aussi un film ambigu, complexe qui propose de multiples niveaux de lecture et qui nous place souvent (comme ses personnages) devant des situations impossibles.
1.85, DCP 4 K image nickel.
1.85, DCP 4 K image nickel.
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Re: Critiques
deux excellents acteurs, Hugh Jackman et Jake Gyllenhaal.
C'est vraiment un film qui marque.
C'est vraiment un film qui marque.
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Re: Critiques
Vision: "CAPTAIN PHILLIPS" (Columbia)
Format: 2.35 - 4K
Histoire/scénario: mention très bien
Acteurs principaux (Tom Hanks & Barkhad Abdi): mention très bien
Réalisateur (Paul Greengrass): mention zéro pointé.
Préambule: je HAIS les séquences filmées à la "caméra sauteuse" et quand, en plus,
on utilise dans la dite caméra de la pellicule 16mm à 500 asa, ça devient abominable.
Conseil: Ne pas aller voir ce film avec l'estomac plein.
Comme de surplus la majorité du film se passe en mer (avec houle conséquente)
cette caméra sauteuse provoque une irrésistible envie de courir dans les toilettes
pour y rendre son déjeuner.
Cela dit le scénario tient bien la route et les acteurs sont impecables (nominations
aux oscars, nous voila). Les moyens techniques sont impressionnants. Le son
mérite une mention positive particulière.
En résumé: un bon film atrocement gaché par un réalisateur qui ne sait pas
s'empêcher de filmer comme s'il était monté sur un baudet.
Durée 02:14:17 (c'est long).
Format: 2.35 - 4K
Histoire/scénario: mention très bien
Acteurs principaux (Tom Hanks & Barkhad Abdi): mention très bien
Réalisateur (Paul Greengrass): mention zéro pointé.
Préambule: je HAIS les séquences filmées à la "caméra sauteuse" et quand, en plus,
on utilise dans la dite caméra de la pellicule 16mm à 500 asa, ça devient abominable.
Conseil: Ne pas aller voir ce film avec l'estomac plein.
Comme de surplus la majorité du film se passe en mer (avec houle conséquente)
cette caméra sauteuse provoque une irrésistible envie de courir dans les toilettes
pour y rendre son déjeuner.
Cela dit le scénario tient bien la route et les acteurs sont impecables (nominations
aux oscars, nous voila). Les moyens techniques sont impressionnants. Le son
mérite une mention positive particulière.
En résumé: un bon film atrocement gaché par un réalisateur qui ne sait pas
s'empêcher de filmer comme s'il était monté sur un baudet.
Durée 02:14:17 (c'est long).
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Re: Critiques
La Vie domestique : Croisement de Desperate Housewives et d'un film français chiant. Je crois que c'est l'un des plus mauvais films que j'ai vu de l'année. Sous prétexte de dénoncer la vide existence de 4 femmes au foyer, le film est une succession de scènes du quotidien à mourir d'ennui. Aucun personnage du film n'est sympathique, Helena Noguerra et Julie Ferrier jouent comme des patates. Le tout est filmé avec des couleurs désaturées, donnant une image plus que moche. Pour vous donner une idée, le point culminant du film est un diner entre voisins. Voilà, voilà.
Vandal : Excellente surprise pour ce film à tout petit, petit budget. Un adolescent qui a des difficultés s'installe dans la ville où vit son père. Au contact de son cousin, il va se lancer dans le graff. Un bon film sur l'adolescence, la perte de repère entre un jeune partagé entre une mère française et un père marocain (Ramzy, mais on voit très peu les acteurs adultes en fait), qui trouve dans cette pratique un épanouissement personnel, aux dépends du danger et de la loi (on pense un peu à certains films anglais dans le portrait des jeunes de la classe populaire). Quelques soucis de scénario et d'interprétation, mais en même temps c'est frais et jeune. Donc gros encouragements au réal dont j'aimerais bien voir ce qu'il fera après.
Vandal : Excellente surprise pour ce film à tout petit, petit budget. Un adolescent qui a des difficultés s'installe dans la ville où vit son père. Au contact de son cousin, il va se lancer dans le graff. Un bon film sur l'adolescence, la perte de repère entre un jeune partagé entre une mère française et un père marocain (Ramzy, mais on voit très peu les acteurs adultes en fait), qui trouve dans cette pratique un épanouissement personnel, aux dépends du danger et de la loi (on pense un peu à certains films anglais dans le portrait des jeunes de la classe populaire). Quelques soucis de scénario et d'interprétation, mais en même temps c'est frais et jeune. Donc gros encouragements au réal dont j'aimerais bien voir ce qu'il fera après.
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Re: Critiques
Spécial FONZY
Une fois de plus, une avant-première avec équipe, dans une salle de 600 places pleine à craquer (complète !) et avec une foule ayant de l’enthousiasme à revendre, la vision du film a pris une toute autre dimension. Dijon, Ciné Cap-vert.
FONZY, il s'agit du fameux remake de Starbuck sorti il y a un an, revu le mois dernier sur canal+. Un décalquage parfait d'un film parfait. Nous retrouvons la même empathie que nous avions pour Patrick Huard. José Garcia réincarne au poil le personnage, trouve la note parfaite, et arrive à dégager la même positive-attitude que son prédécesseur, on adore ce genre de personnage.
Et il n'est pas le seul, Lucien Jean-Baptiste, jouant le rôle de l'avocat, se retrouve dans les scènes les plus hilarantes du film, voir même avec une meilleure tonalité que dans Starbuck. Dont une qui s'enchaine avec Gérard Hernandez, le père, où cette fois en salle, c'était un rire fédérateur à chaque réplique, comme les rires de fond dans les séries comiques américaines, dingue.
Pas de mauvaise blague, c'est un excellent film, qui mérite un vrai succès. Mais bon, la séance est encore toute fraîche, je dois être encore coincé dans le méga-trip.
Coté échange avec l'équipe, Isabelle Doval a d’emblée expliqué que ce film est un désire (ou commande, c'est selon) de producteurs canadien, qui ont racheté les droits tellement qu'ils trouvaient l'histoire fabuleuse, pour en faire un remake en France. Isabelle et José ont donc été désigné pour réaliser et interpréter ce film. Une belle version
Je vais aussi vous poster une petite vidéo, plus tard,
pour voir comment que c'était chô bouillant dans la salle !
Place aux photos !
Et en plus c'était son anniversaire, à Isabelle Doval !
Je ne pensais pas du tout vendre le film, je croyais que j'allais être déçu...
Une fois de plus, une avant-première avec équipe, dans une salle de 600 places pleine à craquer (complète !) et avec une foule ayant de l’enthousiasme à revendre, la vision du film a pris une toute autre dimension. Dijon, Ciné Cap-vert.
FONZY, il s'agit du fameux remake de Starbuck sorti il y a un an, revu le mois dernier sur canal+. Un décalquage parfait d'un film parfait. Nous retrouvons la même empathie que nous avions pour Patrick Huard. José Garcia réincarne au poil le personnage, trouve la note parfaite, et arrive à dégager la même positive-attitude que son prédécesseur, on adore ce genre de personnage.
Et il n'est pas le seul, Lucien Jean-Baptiste, jouant le rôle de l'avocat, se retrouve dans les scènes les plus hilarantes du film, voir même avec une meilleure tonalité que dans Starbuck. Dont une qui s'enchaine avec Gérard Hernandez, le père, où cette fois en salle, c'était un rire fédérateur à chaque réplique, comme les rires de fond dans les séries comiques américaines, dingue.
Pas de mauvaise blague, c'est un excellent film, qui mérite un vrai succès. Mais bon, la séance est encore toute fraîche, je dois être encore coincé dans le méga-trip.
Coté échange avec l'équipe, Isabelle Doval a d’emblée expliqué que ce film est un désire (ou commande, c'est selon) de producteurs canadien, qui ont racheté les droits tellement qu'ils trouvaient l'histoire fabuleuse, pour en faire un remake en France. Isabelle et José ont donc été désigné pour réaliser et interpréter ce film. Une belle version
Je vais aussi vous poster une petite vidéo, plus tard,
pour voir comment que c'était chô bouillant dans la salle !
Place aux photos !
Et en plus c'était son anniversaire, à Isabelle Doval !
Je ne pensais pas du tout vendre le film, je croyais que j'allais être déçu...
Modifié en dernier par vekoma le mer. 16 oct. 2013 - 23:12, modifié 1 fois.