Avant la sortie nationale, prévue pour le 22 décembre, le film sera projeté :
- à Lyon, le 30 novembre.
- à Bordeaux, le 7 décembre.
- à Paris, le 15 décembre.
Voici ce qu'il a écrit à ce sujet :

Le cinéma numérique 4K d'après Sony |
Tout à fait. Mon ultime expérience avec le SDDS était sur un Disney/Pixar (Monstres et Cie) que l'on passait en VO/VF. Dans la salle, on privilégiait le DTS, le DD sinon et le SDDS "au cas où". Si l'une passait sans problème en DTS, le set de disque de l'autre était mauvais et la piste DD partait avec un taux de faute trop élevé, souvent mauvais signe sur un lecteur réglé aux "petits oignons".WestEnder a écrit :Je crois que Disney / Buena Vista utilisait aussi le SDDS.
Je vais dire que globalement ... le SDDS c'est terminé. Pour l'argentique, les SDDS utilise effectivement l'ATRAC-3. Mais contrairement au Dolby il a le gros avantage de ne pas être à taux de compression variable. Un des gros reproches que l'on peut faire au Dolby Digital "argentique", c'est sa localisation inter-perfos. Le bloc "data" est limité en taille et donc en informations. Si on utilise - je cite un exemple idiot et grossi volontairement - QUE la voie centrale, le codec "comprime" peu (vers 5, un peu plus que le SDDS). Si les 5 voies sont utilisées simultanément, le taux de compression augmente dans d'énormes proportions (> 10). Ce qui fait que - sur le papier - le SDDS avait un énorme avantage (sa compression était un poil supérieure au DTS classique, reste la performance de l’algorithme pour moi supérieure chez Dolby/Sony). De la théorie à la pratique, il y a eu un monde (en fiabilité et en diffusion) et ça n'a pas été plus loin. Le Dolby Digital "classique" utilise l'AC-3 (avec des variantes), le SDDS l'ATRAC 3 qui n'est qu'une variante de l'AC3. Au départ les SDDS avait été développé sans compression sous le nom de Semetex.darklover a écrit :Bien souvent l'équipement SDDS s'intercalle dans la chaine sonore entre le processeur Dolby et les filtres actifs qui vont donc attaquer les voix d'amplification. dans cette configuration lorsque le SDDS est "out" le processeur sony est en by-pass, c'est les équaliseurs du processeur dolby qui font la correction accoustique, mais lorsque le lecteur sony lit une piste son SDDS alors ce sont les équaliseurs du sony qui corrigent l'accoustique de la salle. Le processeur Dolby est en plus dans ce cas de figure éloigné des amplis, donc on peut perdre en micro-informations sonores. (çà depend de la qualité des cables). Et pour en finir avec le SDDS , l'algorithme de compression est sous licence Dolby !!. (ATRAC) souvenez-vous des minidisc Sony. Sinon C'est le même mixage, 5.1. c'est fini le 7.1 en tout cas pour les voies de scenes.