mon tout petit long-métrage documentaire.

[MOSS]

Eh bien bravo, être débordée par sa cutlure cinématographique comme ça, c'est beaucoup mieux qu'être plein de "vides" comme moi!
(oui en principe après un petit coup de bashing, je positive un peu.)

[Charles]

Yannick tribute

Je

[penny-lane]

Hum oui, fais attention, tu es sur la mauvaise pente

[Francoise]

Bonsoir

La pente c'est 63 ans de mauvaise Ce n'est pas la pire

Douce nuit.

Francoise

[bobrazowsky]

Bonjour à tous,

Graçe à l'aide de plusieurs d'entre vous j'ai pus avancer dans mon projet malgré pas mal de lacunes dans mes connaissances concernant pas mal de choses.

Depuis le printemps, j'ai soumis mon film à la plupart des "gros" festivals de long-métrage documentaire existants. Environ une vingtaine de festivals je dirai. Le bilan est plutôt mauvais, il me reste une réponse en attente, le film as était prit dans un festival ( un festival spécialisé sur le sujet, Le plus gros festival sur le sujet, ne nous voilons pas la face, c'est pas terrible comme bilan)
mais sinon les environ 18 autres festivals ne l'ont pas retenus. ( Du point de vue financier, à coup de 40-100$ par inscription, ça fait juste..chié, mais bon c'est comme ça.)

J'ai choisit de ne pas présenter mon film dans les touts petits festivals de fiction et documentaires ( ça aurai peut-être était logique que je le fasse, mais j'ai vus tant de petits films, gagner des (petits) prix, et ne pas être distribuer ensuite, ça m'as juste semblai inutile, dans le sens ou ma seule volonté en participants à des festivals, c'est d'accéder à une distribution, peut-être que ma logique n'était pas la bonne)

Bref, par contre niveau critique des journalistes, galleristes d'art, spécialisé sur le sujet, le film aura semble-il une bonne, voire une très bonne critique. Je l'ai montré à quelqu'uns des plus influents dans cette "cast" et clairement ça leur plait.

Enfin c'est pas ça qui vas m'aider directement, ce n'est pas ces gens qui décident qu'un film arrivent en salle ou pas, et c'est encore moins eux qui font un succès.

( ou alors il faut que je leur demande de publier leur critiques maintenant et ça pourrai m'aider a trouver un distributeur? Je ne crois pas mais d'aprés vous ça se fait ça?)

Le sens de mon message aujourd'hui :

On m'offre la possibilité d'accéder gratuitement à une surface d'exposition très conséquente et très bien placé au salon du cheval de paris ( villepinte en fait, à coté de l'aéroport CDG) du 28 novembre au 6 décembre prochain, pour promouvoir le film.

C'est un salon spécialisé sur le thème du film ( chevaux et équitation) qui vois passer 140 000 visiteurs par ans. J'aurai sur place en expo une partie de la collection de photos fine art en grand format, (photos réalisé conjointement au film), l'affiche du film bien sur, puis la vidéo du trailer visible sur place, stand, interviews, canapé, cocktails-avec-de-petites-ombrelles etc.

Donc là, j'aurai vraiment besoin de quelques salles qui prennent le film pour 1,2-3-4 séances en RP ( même ailleurs) pour dire aux gens lors du salon "oui, c'est un film, oui vous pouvez aller le voir!"

voilà, à vot' bon coeur messieurs-dames', si vous avez une salle, si vous avez des pistes.. Je demanderai aux critiques qui ont vus le films de publier leur truc au moment du salon... si les gens peuvent voir le film.

J'ai des affiches 60X80, trailer en DCP, (et en ce que vous voulez si besoin) Le film en DCP. 70 minutes, tout public, visa reçut.

Le film est muet, uniquement musicale. Tout public, dossier de presse sur simple demande.

j'upload le trailer et je vous donne un lien et un mot de passe d'ici une heure.

[bobrazowsky]

[johannes]

C'est très bien filmé. Si c'est un film "contemplatif" de 70 minutes avec uniquement de belles images de chevaux, c'est vrai que ça limite pas mal l'audience. Je peux comprendre que des organisateurs de festivals hésitent à programmer ton film.

[bobrazowsky]

merci, c'est pas tout à fait uniquement contemplatif car les personnages et les faits sont bien réel, en ce sens le fond est documentaire, mais c'est vrai que la forme est très typé contemplative, et que du coup ça limite sans doute ce film.
Mon but c'était aussi de faire quelque chose de radicalement différent de ce qu'on trouve invariablement dans le domaine du cheval et de l'équitation. ( pédagogie, et histoires purement humaines, verbalisées)

[johannes]

Tu peux essayer de le vendre en VOD sur Vimeo. Ca fera toujours rentrer un peu d'argent

[bobrazowsky]

Disont que j'ai pas claqué six ans de ma vie pour atterir en VOD directement. Heureusement il n'y a pas que la France, notre beau pays qui vit les deux pieds dans le béton, pour faire vivre un film.

[greg72]

Oui, c'est beau. Laisse tomber les cinémas français, peu ouverts à des choses nouvelles et différentes.

[marlenr]

Ce sont de très belles images.
C'est vrai que c'est compliqué de déplacer des spectateurs dans une cinéma pour un film sans paroles.
Mais je verrais bien ton film dans une expo ou un musée artistique voire en festival d'art contemporain. En projection murale. T'y a pensé ?

[bobrazowsky]

c'est compliqué mais à petite échelle ça dois bien être possible, me dite pas que les gens ont à ce point besoin qu'on les prennent par la main pour leur parler et leur décrire tout ce qu'ils voyent. Il y a déjà la télévision pour ça. non?

[marlenr]

Oh là ... Tu vas avoir des réponses là ... C'est un vrai débat ça.
Si : les gens ont besoin qu'on les prennent par la main ! On fait tout pour qu'ils n'aient pas à réfléchir et on leur sert tout sur un plateau depuis des décennies. Donc, dès que ça sort du format habituel, tu as du mal à faire se déplacer une majeure partie d'entre eux ...

[greg72]

Non, marlenr, il y a encore des gens qui attendent autre chose d'un cinéma que de servir la soupe habituelle. C'est sûr, ils ne sont pas nombreux, ce sont les mêmes qui font les expos et achètent des livres pour les lire (vous rendez-vous compte ?), mais ils existent.

Le numérique permet, pour des raisons évidentes de coûts d'exploitation réduits, de montrer ce genre de films. Encore faudrait-il que les exploitants et distributeurs jouent le jeu, avec toutes les aides et subventions dont ils bénéficient, contrairement à d'autres pays, ce serait le minimum. Sans ces aides ils n'existeraient même plus. Il serait temps que l'Etat qui finance à perte toutes ces activités culturelles en veuille pour son argent et impose des choix artistiques plus forts que les merdes qui inondent nos écrans.

Je veux voir ce genre de films en salles, de temps en temps. Et les cinémas qui se content du dernier Dany Boon et de la Palme d'Or peuvent crever, je ne verserai pas une seule larme